Les députés européens révisent actuellement le « règlement de Dublin », la réglementation de l'UE qui détermine le pays responsable du traitement des demandes d'asile. Le système actuel met une pression considérable sur les États en première ligne, comme la Grèce ou l'Italie. Dans ces conditions, les législateurs préconisent une répartition plus équitable des demandeurs d'asile entre les États membres, ainsi qu'une participation obligatoire.

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Crise migratoire : le partage du fardeau

https://api.multimedia.europarl.europa.eu/documents/20125/20489922/N01-PUB-171018-DUBL-FR.srt

Les migrants fuyant les conflits, les persécutions et la pauvreté continuent d'arriver sur les côtes européennes. ##@#

Le voyage est périlleux, avec des milliers de personnes qui meurent en mer.

Ceux qui arrivent vivants espèrent rester en Europe.

Des millions de personnes ont demandé le statut de réfugié ces dernières années. ##@#

La règlementation de l'UE qui détermine le pays responsable

 du traitement d'une demande d'asile est le « Règlement de Dublin ». ##@#

Il s'est effondré en 2015 avec l'important afflux de demandeurs d'asile.

Nous devrions avoir une répartition équitable des personnes 

pour que tous les États membres se partagent la responsabilité des demandeurs d'asile. ##@#

Actuellement, les demandes d'asile sont traitées au niveau national. 

Le premier pays dans lequel le demandeur d'asile arrive dans l'UE en est responsable. 

Les États en première ligne, comme la Grèce et l'Italie, en subissent les conséquences. ##@#

À l'avenir, les demandes devraient être collectées automatiquement au niveau de l'UE 

et distribuées en fonction de la population et du PIB de chaque État membre. ##@#

qui fonctionne indépendamment de l'afflux (important ou non) de personnes, 

de sorte que nous n'ayons plus à mettre en place des mesures d'urgence.

Un système capable de gérer l'ampleur du problème,

un système fondé sur la responsabilité partagée.