Un JT plus condensé à tous les niveaux. Enrayer la pénurie d'organes en Europe pour que les receveurs en attente puissent bénéficier d'une meilleure coordination des hôpitaux européens. Les eurodéputés se penchent sur le sujet. La supervision financière à

Le JT: Enrayer la pénurie d'organes dans l'UE - Une supervision financière non contraignante -

https://api.multimedia.europarl.europa.eu/documents/20125/15186988/N001-100202-FR.srt

Des centaines d'Européens   meurent chaque année

Les eurodéputés   veulent inverser la tendance.

L'Europe tire les leçons   de la crise financière.

Des instances de surveillance des   marchés des banques et des assurances

Un résumé du reste   de l'actualité européenne.

La lutte contre   le réchauffement climatique

Encore aujourd'hui,   entre 8 000 et 16 000 européens

en attente d'un cœur,   d'un foie ou d'un poumon,

meurent chaque année   faute d'une pénurie d'organes.

En cause, un manque de coopération   entre les États membres.

Jusqu'à présent, aucune législation   communautaire n'encadre la sécurité

et la qualité de l'échange   d'organes entre humains.

Il faut un organisme   de coordination européen,

qui soit en harmonie avec les organismes   de transplantation nationaux

et qu'il y ait un coordinateur hospitalier   dans chaque État,

pour que l'organe disponible puisse   être donné le plus rapidement possible.

L'UE prévoit la création dans chaque État   d'une autorité nationale.

Elle veillerait au respect   des normes communautaires

Un système de traçabilité des organes   serait aussi mis sur pied.

Le but: assurer la santé   des receveurs d'organes,

des receveurs toujours en attente   d'organes faute de donneurs.

En changeant la loi,   la situation pourrait évoluer.

Dans des pays comme le mien,   vous êtes donneur d'organes

Il faut dire que vous voulez   être donneur quand vous êtes vivant.

Être donneur par défaut,   un bon moyen d'augmenter

le nombre potentiel de transplantations.

Prochaine étape,   un vote en commission parlementaire

Oui à une autorité   de supervision financière

Tel était le compromis auquel les chefs   d'États étaient parvenus en décembre.

Avec une formule contraignante,   il aurait fallu modifier les traités,

mais personne   ne voulait en entendre parler.

Pour que cela fonctionne,   les gouvernements doivent renforcer

Si ce n'est pas contraignant,   il faut autre chose.

Banques, assurances   et services d'investissement

ont chacun leur autorité de supervision.

Elles devront établir   des règles communes

Mais les États se gardent un droit de véto   quant aux décisions prises.

Il va y avoir une lutte   entre les décisions européennes

car il s'agit   de la dernière grande compétence

qui est encore du ressort   des banques centrales nationales.

Il faut bien évaluer les nouvelles règles   pour aider à sortir de la récession.

Les entreprises sortent fragilisées,   et le chômage ne cesse d'augmenter.

Si on ne stimule pas   la croissance industrielle

et garantir la sécurité sociale   des Européens,

Les eurodéputés veulent un droit   de regard sur ces autorités

Le monde qui émergera de cette crise   sera peut-être différent.

Shanghai deviendra   la première place financière du monde

la nouvelle autorité de supervision   devrait débuter ses travaux en 2012.

Le président du Parlement   a dénoncé les traitements brutaux

Une centaine de militants ont été arrêtés   au cours d'une manifestation pacifique.

Parmi eux, Oleg Orlov,   chef de l'association Memorial,

un prix pour la liberté d'expression   décerné par le Parlement.

Oleg Orlov et les autres militants   ont tous été relâchés.

Le mois dernier, pareille mésaventure   était arrivée à la co-lauréate du prix.

Peut mieux faire. La commission   environnement du Parlement

a jugé insuffisantes   les offres de réduction

de gaz à effets de serre   proposées par les pays développés.

Ils avaient jusqu'au 31 janvier   pour remettre leur copie à l'ONU.

L'UE s'est engagée   à réduire ses émissions jusqu'à 30%

par rapport à 1990,   sous certaines conditions.

De leur côté, les USA proposent une   réduction de 3% par rapport à 1990.

Les Européens sont globalement   satisfaits de leur situation.

Le taux de satisfaction chute   quand on leur demande

de juger la gestion   de leur administration publique

ou la manière dont leur pays aborde la   question de la pauvreté et des inégalités.

Ce sont les conclusions d'un nouveau   sondage Eurobaromètre.

Un rapport de la Commission sur la   situation sociale en Europe indique

que les Européens dépensent plus   dans leur logement qu'il y a 10 ans.

Ils y consacrent 1/5e   de leur revenu disponible.