Les eurodéputés tentent de combler les lacunes de la législation concernant l'exportation d'instruments et de médicaments qui pourraient être utilisés pour torturer ou procéder à des exécutions.

﻿"L'UE ne devrait pas fournir d'instruments de torture"

https://api.multimedia.europarl.europa.eu/documents/20125/11525635/N005-160907-001-FR.srt

Il est crucial que l'UE ne fournisse pas  ou ne favorise pas les biens et services

qui peuvent mener  à la peine de mort ou à la torture.

L'innovation technologique de l'Europe  peut être une arme à double tranchant

une fois ceux-ci exportés dans des pays  qui torturent et tuent leurs citoyens.

D'après les organisations pour les droits  humains, la torture continue

dans la moitié des 158 pays  ayant ratifié une convention l'interdisant.

Le commerce mondial dans les instruments  utilisés est florissant.

La société civile, les pays démocratiques  dans le monde ont toujours moins de place.

La liberté de la presse perd aussi  du terrain à l'échelle mondiale

et nous, élus dans des sociétés ouvertes  et démocratiques, devons être vigilants.

La loi européenne qui lie tous les États  membres a été approuvée en 2005,

mais malgré des changements depuis,  de nombreuses failles persistent.

Le PE, pressé par des organes de la société  civile, tente de les consolider.

Nous essayons de limiter l'exportation  d'instruments flagrants utilisés pour torturer,

De même, des médicaments pouvant servir  à donner une injection mortelle

ne devraient pas être vendus à des prisons  ou agences d'exécution de la loi.

Il est prouvé  que la législation existante fonctionne.

que l'interdiction des substances médicales  pouvant être utilisées pour des exécutions

﻿"L'UE ne devrait pas fournir d'instruments de torture"

"L'UE ne devrait pas fournir d'instruments de torture"