Martin Schulz rejoint Alexis Tsipras pour marquer la première relocalisation de réfugiés qui a vu 30 migrants irakiens et syriens quitter la Grèce. E12E2445-9AC1-4C06-A9FC-A54600E2EA1D

Plan de relocalisation : des réfugiés quittent la Grèce

https://api.multimedia.europarl.europa.eu/documents/20125/18744599/n005-151105-001-fr.srt

Un enfant s'approche  du président du Parlement européen,

il ne parle pas la même langue,  mais ses gestes sont très clairs :

Voilà les scènes qu'on voyait  à Lesbos, en Grèce,

lors de la visite du président Martin Schulz  dans un centre d'accueil pour réfugiés.

Les centres sont chargés de filtrer  les demandes d'asile légitimes et illégitimes

et de la relocalisation dans l'UE  de ceux qui reçoivent le feu vert.

Il s'agit d'une situation extrêmement  difficile et tragique.

Il est clair que la Grèce n'est pas en mesure  de régler l'ensemble du problème seule.

Aucun "hotspot" ne résoudra le problème  sans un système de relocalisation durable.

Il nous faut une compréhension claire  avec la Turquie.

D'ici 2017, jusqu'à 160 000 réfugiés  seront relocalisés d'Italie et de Grèce

vers d'autres pays de l'UE,  malgré l'opposition de la Roumanie,

la République tchèque,  la Slovaquie et la Hongrie.

L'idéal serait  de mettre fin à la guerre en Syrie

Et ensuite d'avoir un accord avec la Turquie

afin d'organiser  un meilleur mécanisme de réinstallation.

Le 4 novembre,  le premier groupe de 30 réfugiés

a été relocalisé de Grèce au Luxembourg.

À la fin de la visite, le jeune garçon  appelé Sayid a reçu un chaud manteau,