Avec l'augmentation de la popularité de l'impression 3D, la technologie modifie le fonctionnement des entreprises et la manière dont les gens travaillent. Mais avec ces nouvelles frontières de production surgissent des questions sur la sécurité et les droits de propriété intellectuelle que le Parlement européen tente de résoudre.

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Impression 3D : le Parlement se penche sur les nouvelles technologies

https://api.multimedia.europarl.europa.eu/documents/20125/10162704/N01-PUB-200614-PRIN-FR.srt

La science-fiction est désormais une réalité. 

L'impression 3D est devenue monnaie courante. 

De l'utilisation par les consommateurs aux domaines médicaux, 

Avec des imprimantes pour un usage à domicile ou à l'échelle industrielle, 

la technique utilise un fichier numérique pour créer un objet 3D. 

Plusieurs couches de matériaux, généralement en plastique, sont construites en fonction de la conception. 

De la création de pièces difficiles à trouver au développement de prototypes de modèles pour l'industrie aéronautique, 

la pratique permet aux objets d'être personnalisés d'une manière jamais égalée auparavant.

 Mais avec les possibilités infinies surgissent de nombreuses questions entourant la réglementation. 

Si je vends une imprimante 3D à quelqu'un, je ne peux pas être responsable de ce qu'il va faire. 

Il y a beaucoup de ressources en ligne et les gens peuvent télécharger beaucoup de choses par eux-mêmes. 

C'est pourquoi le Parlement cherche des moyens de traiter les questions de propriété intellectuelle 

 Il souhaite créer un cadre légal pour les services d'impression 3D.

 Les solutions possibles sont le cryptage et la protection des fichiers afin d'éviter

 le téléchargement et la reproduction illégaux de fichiers ou d'objets,

ainsi que l'identification des chaînes d'approvisionnement 3D illicites. 

Développer un cadre légal serait particulièrement bénéfique pour l'industrie des prothèses, 

qui a maintenant la capacité de créer des produits sur mesure pour répondre aux besoins spécifiques des patients. 

Toute nouvelle réglementation ne devrait pas entraver l'innovation, 

mais plutôt faire le point sur les règles existantes et les besoins futurs.