La victoire en Grèce du parti anti-austérité Syriza a suscité de nombreuses réactions au Parlement, alors que le ministre allemand des finances a déclaré aux eurodéputés que la zone euro pourrait survivre à une "Grexit".

En résumé : Un tournant pour la Grèce, et pour l'Europe ?

https://api.multimedia.europarl.europa.eu/documents/20125/11953075/n001-150129-005-fr.srt

Le vote des Grecs était clair :  le parti Syriza d'extrême gauche,

avec son dirigeant charismatique  A. Tsipras, est au pouvoir.

Après des années d'austérité,  qui ont vu le PIB dégringoler de 25%,

Syriza améliorera-t-il le sort de la Grèce ?

Les nouveaux venus veulent renégocier  un accord sur la dette publique grecque.

Mais les partenaires de l'UE  joueront-ils le jeu ?

À une réunion de la commission  Affaires économiques,

a fait allusion  à un bras de fer avec la Grèce.

Comme si on pouvait accuser  quelqu'un d'autre du problème d'un pays.

La plupart des problèmes commencent  au niveau national

et doivent d'abord être résolus  à ce niveau.

La solidarité peut aider à résoudre  le problème, mais pas s'y substituer.

L'hémicycle de Bruxelles  a accueilli une mini-plénière.

La priorité :  les mesures antiterroristes.

Si les États cherchent des solutions, les  députés ont discuté de l'approche pour l'UE.

Ils étaient aussi optimistes  pour un accord sur le climat

à la conférence de l'ONU,  à Paris, en décembre,

visant à une réduction drastique  des émissions.

Un rappel de toute l'horreur de la guerre,

alors que les gens ont rendu hommage,  au Parlement, 70 ans après Auschwitz.

Plus d'un million de gens,  surtout juifs,

ont été tués dans le camp  par les nazis avant sa libération.

Les survivants et personnes présentes  ont averti de ne pas répéter ces erreurs.

Nous sommes forts. Nous sommes  puissants. Nous avons de l'influence.

Et cela nous oblige,  à chaque seconde, à nous lever

quand le mal se manifeste  et à dire : "Pas avec nous".