Tenant compte du fait que nous passons de plus en plus de temps en ligne, le Parlement considère que nous avons besoin de définir de nouvelles règles pour les fournisseurs de services numériques. Qu'il s'agisse d'achats en ligne ou du partage de contenus sur les réseaux sociaux, les députés européens suivent un principe simple : si c'est illégal hors ligne, alors cela doit l'être également en ligne.

data protection

technology

consumer protection

rights of the individual

DSM (Digital Single Market)

Illégal hors ligne ? Alors cela doit l'être également en ligne.

https://api.multimedia.europarl.europa.eu/documents/20125/4005909/N01-AFPS-201014-DIGS-FR.srt

Un cinquième des entreprises européennes

proposent leurs biens et leurs services en ligne.

Une proportion qui ne cesse d'augmenter chaque année.

Le Parlement propose actuellement des changements

visant à mieux protéger nos vies en ligne.

« De nos jours, les plates-formes et les fournisseurs de services numériques

sont devenus de véritables services publics.

pour communiquer, partager des informations,

Mais il ne s'agit pas seulement des objets que nous achetons,

il s'agit également des données personnelles que nous transmettons

ainsi que des actualités et informations que nous lisons et partageons.

Les députés européens expliquent que les nouvelles règles sont basées sur un principe simple :

si c'est illégal hors ligne, alors cela doit l'être également en ligne.

« Que doit faire Twitter face à l'incitation à la haine et au racisme ?

Que doit faire Facebook face à la pédopornographie ?

Et que doit faire YouTube face aux contenus terroristes ? »

Le Parlement souhaite définir un cadre légal strict,

notamment des amendes, afin de lutter contre les contenus illégaux

et de mieux surveiller les contenus préjudiciables.

« Il s'agit de protéger les droits fondamentaux,

de donner le choix aux consommateurs et enfin,

de faciliter l'accès des start-ups au marché. »

Les députés européens refusent une approche unique et uniforme,

et insistent sur le fait que les grandes plates-formes doivent être tenues pour responsables,

que les petites plates-formes doivent pouvoir se développer

et que les consommateurs doivent être protégés.