Les eurodéputés débattent de la meilleure manière de renouer avec la croissance avec le président de l'Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem et examinent la réaction que l'UE doit adopter face aux crises humanitaires et à l'épidémie d'Ébola. 853CC9B5-CD4B-4C22-

Aide humanitaire / Stabilité de la zone euro / Épidémie d'Ébola

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Les histoires des corps qui jonchent  les rues de Bama, au Nigeria,

des Gazaouis tentant de reconstruire leur  vie après les frappes aériennes d'Israël

ou du règne de la terreur  de l'État islamique en Syrie et en Irak,

toutes ces horreurs sont difficiles à digérer.

Quelle est la meilleure façon  dont l'UE peut aider ?

À Gaza, ils ont besoin d'écoles,  d'hôpitaux, de matériel médical.

En Afrique de l'Ouest, avec Ébola, il faut  des infirmières et médecins sur le terrain

et s'assurer de pouvoir  correctement traiter la maladie.

Chaque crise requiert une réponse  différente, en fonction des besoins.

Nous devons veiller  à dégager les fonds nécessaires.

D'après les chiffres, le PIB est resté  stable dans la zone euro

par rapport au premier trimestre de 2014

et il a augmenté de 0,7%  par rapport à la même période en 2013.

Bonne nouvelle pour l'UE, lors de  la première apparition de M. Dijsselbloem

devant la commission Affaires économiques  et monétaires depuis l'été.

La discussion du jour visait à peaufiner  la politique monétaire existante,

tout en veillant à soutenir la croissance.

Certains étaient prêts  à tendre la main

et à conseiller  le président de l'Eurogroupe.

Il a dit que les réformes étaient en cours,  que la croissance reprenait.

mais les signes d'espoir  qu'on avait avant l'été ont disparu.

Il nous faut des investissements durables

et pour financer cela,  il faut une taxation adaptée

et à la concurrence  sur l'impôt des sociétés en Europe.

1900. C'est la statistique atterrante  du nombre de personnes

décédées depuis le début  de l'épidémie d'Ébola.

Il n'y a pas de vaccin ou de remède, et  comme l'épidémie se propage rapidement,

Il est clair qu'il nous faut  une stratégie.

En Afrique, il faut accroître  le nombre de médecins volontaires

et le soutien aux organisations  sur le terrain,

afin de fournir les moyens requis  et contrôler la diffusion de l'épidémie.